Miséricorde absolue, vérité d'amour,
Immensité de ses potentiels pour toujours,
Royauté divine proclamée par Jésus,
Agapé vertueuse sur les corps perclus,
Charité profonde et sincère compassion,
Lumières pour éclairer toutes les nations,
Eternel est le lien qui nous unis Ă Dieu.
&
Grâces divines et miséricorde infinie,
Unité trinitaire et Forces célestes,
Emmanuel priant Le Père dans l'harmonie,
Régnant sur ma vie de façon manifeste,
Inlassablement j'ai senti sa présence,
Sur moi, lors de mes combats acharnés,
Oui, sa bénédiction œuvrait, Sa Clémence
Ne cessait d'agir. Et je fus miraculé!
Après avoir relaté une bonne part de mes épreuves et de mes combats (agoni en grec) visibles ou plus mystérieux dans «La Mort attendra» publié aux éditions Belfond, il est temps aujourd’hui de continuer à diffuser l’Espérance, ce leitmotiv qui m’a toujours animé je crois jusqu’à la lisière de mes 50 ans. Nouveau livre, nouvelle vie qui débute le dimanche 3 avril 2016 à quelques jours de notre anniversaire de mariage à Florence et à moi mais aussi et surtout jour de La Fête de La Divine Miséricorde instaurée grâce à Sainte Faustine et à Saint Jean Paul II tous les deux polonais. Depuis plusieurs années je ne pouvais plus écrire avec un stylo mes compositions créatives, mes réflexions et mes pensées au fil des jours et des nuits mais à l’aide de l’ordinateur. En effet depuis mes AVC et mes diverses attaques cérébrales, j’étais vraiment comme coupé en deux. Le plaisir et la joie du corps m’étaient devenus impossibles vivant une lutte permanente de chaque instant, avec une obligation de concentration énorme, alliés à tous mes soutiens spirituels et à ma Foi nourrie au quotidien.
Malgré tous mes efforts, combats chevaleresques et comme dans un cercle vicieux, je ne sortais plus jamais de mes soucis cardio-vasculaires si récalcitrants malgré une absorption de huit médicaments quotidiens. Et toujours cette fichue tension qui me harcelait même en phases de repos ou de ressourcements ! Je sentais en permanence tout le poids de mes maux. J’étais sans cesse courbaturé de partout et comme écrasé par le passé y compris dans la prière. Oui je peux dire que je vivais une sorte de carême permanent notamment depuis bientôt huit années.
Après la Messe des Rameaux j’ai encore vécu un épisode particulièrement douloureux et je pouvais dire comme Jésus que mon âme était «triste à en mourir». Il y a quelques semaines, j’ai même dû retourner à l’hôpital en urgence, alors que j’étais déjà en "Arrêt de Travail" depuis un mois et demi et sans compter les multiples rendez-vous chez mon cardiologue très inquiet. Alors je me suis dit que puisque mon premier livre était sur le point d’être éditer, que j’avais pu arriver à transcrire et à dévoiler les parties enfouies de mon iceberg, j’avais sûrement rempli ma dernière mission sur cette terre !
Les fêtes de La Vigile Pascale où notre future belle fille Natacha allait recevoir Le Baptême et La Résurrection du Christ arrivaient et désormais mon oreille gauche sifflait énormément, je voyais flou ou double jour et nuit, exactement comme lorsque j’étais tout jeune cloué par tous ces signes de mes poussées quasi permanentes d’hypertension artérielle malgré le traitement médicamenteux additionnant désormais cinq molécules et avec des posologies multipliées par deux ! Sans diminuer mes acharnements, j’étais assez angoissé et comme en plein trac destructeur, surtout dans la vie de tous les jours, et je n’arrivais plus du tout à me projeter. Une sorte de ressort me pressait intérieurement inexorable sur chaque organe et même lorsque je jouais du piano. Mes nuits étaient toujours aussi cauchemardesques avec toujours de nombreuses envies d’uriner.
Depuis notre rencontre, notre mariage et surtout depuis plusieurs mois, Florence mon épouse vivait un cheminement spirituel fort et avait entrepris une série de neuvaines et de démarches pour cette année sainte de Jubilé proclamée par notre Pape François. Alors que je flanchais et que je pensais arriver cette fois-ci au bout du rouleau, exactement comme ma voiture, ma Mégane à essence avec ses 240 000 km au compteur, voilà que rempli de Foi, de retour de Notre Dame des Victoires et de Saint Nicolas des Champs, ma femme ayant passé La Porte Sainte, me propose d’aller acheter une nouvelle voiture en remplacement. Je me disais : «Mais, à quoi bon !» Pourtant je lui avait signifié qu’en sortant de l’Eglise Saint-Martin ce mercredi du Chemin de Croix, j’étais tombé sur un ami commercial chez Renault. Finalement en ce samedi 5 avril au matin, à 11h30, nous concrétisions l’achat.
Dans le cadre de notre engagement aux «Equipes Notre Dame», nous nous étions inscrits à un week-end de retraite au Foyer de Charité à Combes la Ville et devions nous y rendre pour 14h30. Devant mon état de fatigue, j’hésitais à y aller mais Florence insista et nous y allâmes. Nous arrivâmes avec un peu de retard dans la chapelle alors que le chapelet était déjà en cours et constations avec bonheur que nos coéquipiers étaient tous là . C’est aussi à ce moment que nous avons pris conscience que se méditait Le Mystère Lumineux du rosaire instauré également par Karol Wojtyła. Juste avant le début du premier enseignement, j’étais littéralement épuisé et voilà que tout d’un coup, ma main droite se mit même à trembler, et de plus en plus !
This is an extract of the book «The miracles of my life» written by Michel Hilger.