Reviews of the book «Death will wait»

Ce roman m'a tout de suite beaucoup intéressée car étant infirmière, le thème de l'AVC m'intéresse beaucoup. Je côtoie des personnes atteintes d'AVC au quotidien et ce témoignage m'a tout de suite attiré.

Michel Hilger est un grand musicien qui a fait de sa passion un métier. Il est malheureusement un jour victime d'un AVC qui va beaucoup l'affaiblir physiquement mais aussi psychologiquement. Pourtant, étant passé tout près de la mort, il va tout faire pour s'en sortir. La première partie est celle qui m'a un peu moins intéressée mais n'est pas inintéressante, lin de là. Tout au long de sa convalescence, nous allons tout savoir sur sa rééducation. J'ai adoré cette partie là ! Cet homme est un battant, c'est incroyable ! Honnêtement, je n'ai encore jamais vu quelqu'un d'aussi battant dans la vie réelle. En effet, il va refuser d'aller dans un centre de rééducation car il souhaite se rééduquer seul, chez lui, auprès de sa femme et de ses quatre fils. Il va donc se créer son propre programme de rééducation. Je vous avoue que des fois il m'a fait un peu peur mais bon, il voulait tellement y arriver que rien ne l'a arrêter. J'aime ces histoires où l'on fait mentir la science et les pronostiques.

Je ne veux pas vous en dire plus afin de vous laisser découvrir ce témoignage par vous même. Je vous le conseille vivement !

Mon cher Michel,

S'arracher de ton livre pour les indispensable tâches communes est difficile, le reprendre c'est aller de stupéfaction en stupéfaction. Autant dire que je l'ai lu allegro et que son écho résonne en permanence dans la maison car j'en rabats les oreilles des miens avant qu'ils ne le lisent à leur tour. Je suis admiratif de ta force d'âme que tu résumes par "La guérison est en nous, mais il faut aller la chercher" Voilà une formule qui devrait être inscrite sur les frontons de tous les hôpitaux. Tu as fort bien résumé ce qu'implique l'interprétation "libérer l'énergie au service de l'acte à accomplir" et expliqué en quoi la discipline des études musicales est une force dans les épreuves (p. 209).

Ton témoignage peut beaucoup apporter à ceux qui se trouvent dans la peine et je souhaite à ton livre le succès qu'il mérite. Je m'emploie dès ce jour à le signaler à mes contacts. Transmets à Gilbert Bordes mes félicitation pour l'organisation du texte qui relance constamment l'intérêt et transmets à tes parents mon estime et mon amitié.

Merci d'avoir cité mon nom, j'en suis confus car je n'ai eu qu'à combattre des difficultés ordinaires. Ne te laisse pas enténébrer par tes particularité et tous tes mystères. Jésus est le Dieu des vivants, et comme dis Florence "il n'y a rien que tu ne saches déjà".

Embrasse ton admirable épouse et tes fils pour moi et sois assuré mon cher Michel, de mon soutien, de mes encouragements dans ta lutte constante et de mon amitié.

Cher Michel,
Je viens de terminer votre livre que j'ai bien apprécié à bien des égards (j'ai mis du temps à le lire car je fais partie de la bibliothèque orange qui nous oblige à lire un à deux livres par quinzaine pour le passer à une autre personne).
Tout d'abord merci de partager votre propre histoire si poignante.
J'adhère entièrement au fait que la personne soudainement handicapée ne peut progresser ou s'en sortir que grâce à sa motivation et les moyens physiques et mentaux qu'elle va mettre en oeuvre. Elle seule sent ce dont elle est capable ou aspire. Il est évident que votre famille a été formidable et n'a pas mis d'entrave à vos décisions personnelles...
Votre livre est un beau témoignage d'espérance à l'approche de Noël.
Je l'ai déjà offert en cadeau d'anniversaire à une amie en souffrance et conseillé à maintes connaissances qui avaient notre sensibilité religieuse.

Je vous souhaite ,ainsi qu'à vos proches , un Joyeux Noël et de bonnes fêtes de fin d'année.

Cher Michel,
J'ai fini de lire ton livre,et j'en suis bouleversée.
Quelle expérience de vie,et quelle opiniâtreté à vouloir conjurer le sort!
Je suis persuadée que le partage de ton parcours de rééducation sera d'une grande aide pour tous ceux qui traversent cet épisode de vie si douloureux physiquement et moralement.
Merci pour ce message de courage et d’espérance.

Ah ! cher ami rencontré au salon du livre à Mennecy ,je suis une bien vieille dame sur ma carte d'identité mais le coeur et les pattes fonctionnent encore bien . Me voilà à la fin de votre livre "la mort attendra "et je suis émerveillée. Pâques nous arrive après le chemin de croix et je crois que j'ai un peu suivi votre propre chemin dans ma tête , dans ma vie , vous m'avez aidée à mieux comprendre ce que peut faire le don de soi , la volonté, la confiance ,la ténacité etc .on pourrait en dire des pages et des pages ! Votre lutte pour une vraie vie me confirme que c'est normal de faite tout pour rester debout ; merci chef !
Bravo maestro , donc , que la santé vous soit donnée puisque vous faites magistralement tout pour ça. « Allegro » !!

Bonsoir Monsieur Hilger,

J’ai eu la chance de lire votre livre, gentiment prêté par Mélanie.
J’en ai pris grand soin car avec votre dédicace, il a beaucoup de valeur.

Votre parcours est absolument incroyable. Vous faites preuve d’une force et d’un courage exemplaires.
Un modèle de résilience qui a dû retenir toute l’attention de Boris Cyrulnic.
C’est peut-être le cas mais j’espère que vous êtes cité dans ces institutions chargées de la rééducation des personnes accidentées ou ayant été touchées par un AVC.
Votre détermination à revivre « normalement » a débouché sur une réussite qui mérite d’être connue et développée.

Vous dites souvent que votre côté Artiste est un atout car la musique développe des sens que beaucoup de personnes n’ont pas.
Je ne suis malheureusement pas musicienne mais je vous crois très volontiers.
Travaillant dans un bureau, devant un ordinateur, je suppose qu’une rééducation serait plus longue et beaucoup moins stimulante.
Je vous rejoins complètement sur un autre point : la rééducation passe avant tout par le regard de l’entourage et le fait qu’il ne doit pas considérer la personne « handicapée » comme telle mais au contraire comme quelqu’un de « normal ».
J’avais eu l’occasion d’évoquer ce sujet avec Cyril Moré, champion paralympique d’escrime et de ski.
Il est devenu paraplégique à la suite d’un accident de ski à l’âge de 19 ans et quand je lui ai demandé comment ses parents avaient géré cette situation, il m’a répondu qu’ils avaient eu le comportement qu’il réclamait : ne pas le regarder comme quelqu’un d’handicapé et continuer comme avant !

Ce qui m’a beaucoup émue aussi dans votre livre, c’est que je suis maman d’une jeune-fille vietnamienne que nous avons adoptée à l’âge de 3 ans et que j’ai très bien compris toutes les émotions, non-dits dont vous parlez.
Aujourd’hui, Anne a 14 ans et de la même façon que vous vouliez être Altiste-peintre professionnel, elle veut être boulangère-pâtissière- chocolatière professionnelle !
Je suis admirative de votre comportement envers vos parents adoptifs mais votre « accident » a au moins eu le mérite de vous lancer dans les recherches qui, je l’espère très sincèrement, vous permettront de comprendre ce qui vous est arrivé. Certes, vous le devez à votre famille mais aussi à vous-même. Ne craignez pas la réaction de vos parents adoptifs, si compréhensifs et si bienveillants.

Je vous souhaite beaucoup de bonheur dans tous les domaines, vous le méritez tellement.

Bonjour Michel, merci pour votre magnifique livre . Vous avez fait bonne équipe avec Gilbert Bordes. Je vous reconnais bien. Effectivement vous avez des traits de caractère slaves, une nature profondément artiste, l'art est vital pour vous, vous avez également la croyance en la prédiction des gitanes, ma mère et sa propre mère ont été informées de leur futur mari respectif par des gitanes . Vous aimez les tziganes , peuple rejeté comme les slaves et les juifs par les nazis pour leur grande sensibilité et leur manque apparent d'ordre. Le Judaïsme alimente votre foi qui présente une grande ouverture et oeuvre pour la paix à travers des associations comme " Artisans de la paix" ( dont la présidente est Paula Kasparian)
j'ignorais que l'accident vasculaire cérébral de 2011 avait fait de tels dégâts et vous oblige en permanence à un travail de réeducation. La vie vous impose des efforts pour lesquels vous puisez la force dans l'action , l'art et la foi ( et bien sûr l'espérance) , ce don permanent a fait de vous un être talentueux, généreux , profondément altruiste.
Vous êtes attiré par les personnes fragiles , âgées et handicapées pour réveiller en eux les possibilités de s'exprimer , d'exister.
Les fondements de votre être ( même si vous êtes le fruit d'un grand amour ) ont été profondément ébranlés par un drame qui a été bien caché, pour lequel on a cherché à brouiller les pistes et dont vous n'avez récupéré que quelques bribes.Seule votre mère, si elle vit toujours, ou des témoins de l'époque pourraient vous raconter ce qui s'est passé.
Je souhaite sincèrement que votre santé s'améliore , que vous trouviez un équilibre physique et psychique , vous le méritez , vous qui avez tant donné et souffert...
Votre motivation la plupart du temps , même en permanence n'est pas matérialiste mais est avant tout un don de votre personne pour autrui peut être pour réparer cette violence présente à l'aube de votre vie. Votre livre est un hymne , une prière pour la vie .

Merci encore , bien amicalement.

Bien à vous

Je viens de t'écouter sur CNews et je t'ai trouvé absolument formidable et admirable; j'ai écouté le récit de ta rééducation personnelle, avec le hochet, la vaisselle, etc... le pessimisme des médecins et ta volonté de prendre par toi-même le taureau par les cornes avec ta Foi et Volonté exceptionnelle et j'ai trouvé tout cela extraordinaire.Aussi tout ce que tu as dit sur notre bel instrument qu'est l'Alto, Haydn, Mozart, tes peintures, la création, les Arts; c'était vraiment très beau de t'entendre conter tout cela.J'ai même trouvé cela trop court..j'aurai souhaité que tes récits ne s'arrêtent jamais tant c'était passionnant.Bravissimo à Toi et merci de m'avoir prévenu de ce très beau moment.

Je t'embrasse en t'espèrant heureux et en pleine forme.

Juste après t'avoir rencontré sur la place de l'Eglise il y a 3 semaines, j'ai commandé ton livre.

Alors là, j'ai été vraiment bouleversée par ton récit pour récupérer ta mobilité, poignant , authentique ,écrit avec des mots simples...

De quel courage, de quelle volonté tu as fait preuve pour te lancer sans hésiter tous ces défis et risques incroyables, contre l'avis de tous les experts !

Quelle espérance pour nous tous , car tu nous enseignes qu'il faut rester digne en toutes circonstances et surtout ne jamais baisser les bras. Cette expérience nous prouve que Dieu nous aime et ne nous abandonne jamais et je pense que quelque part ta foi t'a sauvé.

Tu as bénéficié également de l'amour et de la patience inconditionnels de Florence et de tes garçons. L'attitude de Constantin que je connais depuis plusieurs années m'a émue, d'autant que je sais qu'il est très sensible. Ils n'ont manifesté ni pitié, ni compassion ( ce que tu n'aurais pas supporté).

Je ne savais pas que tes origines étaient incertaines mais je suis persuadée qu'avec la persévérance qui te caractérise tu les découvriras très rapidement.

Ton talent d'artiste imprègne toutes les pages du livre .

Un grand merci pour ce témoignage.

Je sais que tu es toujours très pris par tes activités mais nous avons une telle chance que tu sois des nôtres dans cette commission de musique ! Quant à ton livre, je ne suis pas encore revenue de ma surprise en le découvrant par hasard à la FNAC lundi dernier. Sur le coup, j'ai cru qu'il s'agissait d'un homonyme, mais non ! Bien sûr, je l'ai dévoré sans en perdre une miette et je vais le relire. Ton témoignage m'a à la fois surprise et émue, car si j'avais effectivement été informée de tes graves problèmes de santé il y a quelques années, je ne soupçonnais rien du combat que tu as mené ensuite et que, sans ton livre, je n'aurais jamais pu connaître. C'est une belle victoire quand je revois avec quelle maestria tu as dirigé les choristes et les instrumentistes pendant la messe du 16 octobre à Créteil.. Là aussi, on revenait de très loin depuis le rassemblement diocésain de la Pentecôte 2000 dans le même stade où la messe était accompagnée par 80 bidons ! Je ne manquerai pas de conseiller ton livre à ceux que je rencontrerai, et comme tu m'a demandé mes impressions, il faut que je le relise d'abord et que je prenne le temps de te répondre autrement que par ces quelques lignes. En tout cas, c'est un message d'espoir que tu nous transmets et j'espère que tu auras de nombreux lecteurs qui le recevront. Encore merci à toi et à bientôt, Bien affectueusement,

Cher Michel, j’ai acheté ton livre essentiellement par sympathie pour toi, parce que j’apprécie beaucoup ta présence et ta participation à la commission de musique liturgique du diocèse. Puis par curiosité, j’ai commencé immédiatement à le lire … pour ne plus le lâcher jusque à la dernière page. Mon mari a fait de même, et mon gendre, et puis des amis... Comment résumer en quelques phrases les impressions très fortes qu’il m’a faites ? Par où commencer tant il y a de facettes dans le prisme de ta vie et de ses expériences peu communes ? Je pense que les dénominateurs communs de tout cela sont le courage, la volonté, l’envie de vivre, le tout porté par une grande foi qui elle-même nourrit une espérance inébranlable. Du courage, il t’en a fallu toute ta vie, dès la petite enfance face au mystère de tes origines et de tes premières années dont il ne te reste en mémoire que des souvenirs fragmentaires et angoissants. Et puis aussi bien sûr pour reconquérir ton autonomie pour chaque geste, même le plus banal, de la vie quotidienne après ton deuxième AVC. Je suis restée ébahie de ta ténacité et aussi de ta manière quasi méthodique de progresser : tu programmais une chose à la fois, un objectif à réaliser avant de passer au suivant après l’avoir atteint, en élargissant sans cesse le champ de tes efforts, avec pour objectif final joue en concert LE concert de M Haydn. Chaque geste retrouvé, réapproprié, tu l’as salué comme une victoire, victoire souvent difficile et d’autant plus précieuse. Tout cela tu l’expliques minutieusement au fil des pages et cette minutie, le soin du moindre détail, y compris les plus terre à terre, dans le récit de ce combat nous le rendent présent, vivant et nous font sentir tout ce qu’il a pu te coûter. Mais quelle réussite au bout du chemin ! Personne, en te voyant et en te côtoyant, ne peut se douter de ce que tu as traversé s’il n’est pas au courant de ce que tu as vécu. Et puis, ton livre est aussi une belle déclaration d’amour filial à tes parents adoptifs auxquels tu dois tant, une déclaration d’amour aussi à ton épouse qui t’a soutenu, aidée par sa propre foi, ne serait- ce qu’en évitant de te surprotéger et de plaindre ton sort, mais en te faisant confiance –elle aussi est passée par de sacrés moments-, et à tes fils qui à leur manière d’ados ont su spontanément avoir également la bonne attitude. Tout cela, tu le racontes avec sensibilité, d’une manière vivante, crédible et on est vraiment pris par le récit de bout en bout. La question de tes origines familiales est passionnante, c’est presque un thriller, sauf que ce n’est pas une fiction. Je comprends que cette question ne te laisse pas en paix. J’ai découvert aussi la richesse de tes talents artistiques multiples que je connaissais de manière très partielle seulement, car tu es modeste et n’en fais pas étalage. Je ne sais pas quelle est la part de ton associé dans ce livre écrit à quatre mains, mais quelle qu’elle soit, il a su se couler dans le récit sans lui ôter son caractère de vécu authentique. Merci pour ce livre qui est une belle leçon, un encouragement à ne pas se laisser aller et à ne pas renoncer même dans les pires moments. J’encourage donc ardemment la lecture et la diffusion de ton prier livre en attendant le tome 2. Cher Michel, j’ai acheté ton livre essentiellement par sympathie pour toi, parce que j’apprécie beaucoup ta présence et ta participation à la commission de musique liturgique du diocèse. Puis par curiosité, j’ai commencé immédiatement à le lire … pour ne plus le lâcher jusque à la dernière page. Mon mari a fait de même, et mon gendre, et puis des amis...