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The prefered language configured on your web browser seems to be English. Il me tarde ici d’écrire
Ce qui est profondément
Je le dis assurément
La bonne raison de vivre
Celle qui toujours m’inspire
Et qui est mon élixir
Ma belle tendre colombe
Toi, ma femme toute blonde.
Même en plein cours de violon
Je pense à elle, à son nom.
Lorsque je joue de l’alto,
Je songe à notre duo
Qui est à n’en pas douter
Un signe d’éternité,
Tel notre Dieu éternel
Il sera perpétuel.
Tel un brillant concerto
Il sera un crescendo
Une mélodie subtile
Jouée d’une main agile
Par le plus grand virtuose
Une belle métamorphose
De deux âmes réunies
Jusqu’au bout de l’infini.
Depuis deux jours, je multiplie les allers retour à la cabane au fond du jardin. Je marche inlassablement, concentrant mon attention sur mon pied et ma jambe béton qui doivent apprendre à obéir. Et je mesure les progrès. Certes, je ne fais pas de la course à pied mais les pas sont plus assurés, je trébuche très peu et surtout, je ne tombe plus.
Ceci est un extrait du livre «La mort attendra» écrit par Michel Hilger et Gilbert Bordes. Des informations sur le livre sont disponibles ici.